C'est probablement le film le plus attendu de l'année, ainsi que le come back le plus inespéré de la décennie. Douze ans déjà après le triomphe de Titanic, James Cameron retourne à ses premières amours, la SF pure et dure, avec Avatar, mille fois annoncé, mille fois repoussé, mais qui sera bel et bien sur les écrans du monde entier dès la mi-septembre 2009.
Évidemment, il y a l'enjeu technologique, déjà sur toutes les lèvres, d'un film tourné en HD 3D avec des moyens colossaux (on parle d'un budget minimum de 200 millions $), mais le cinéma de James Cameron a toujours marqué sa différence par des scénarios plus fouillés qu'ils ne le paraissaient, des personnages inoubliables et un humanisme foudroyant. Avatar ne devrait pas faire exceotion à la règle à en juger par le synopsis (mad-movies.com) : Le héros s’appelle Jake Sully (Sam Worthington, la grande découverte de Terminator 4), un ex-Marine paralysé suite à une blessure reçue sur le champ de bataille. Cloué sur une chaise roulante, il est sélectionné par l’armée pour participer au programme Avatar : on l’envoie alors en éclaireur sur Pandora, une planète habitée par les Na’vi, race considérée comme primitive par les humains mais en réalité bien plus évoluée. Hauts de trois mètres, dotés d’un appendice caudal et d’une peau de couleur bleue, les Na’vi vivent en harmonie avec la faune et la flore d’un monde que rien n’est venu souiller, mais dont les ressources minérales suscitent bien des convoitises. L’oxygène étant absent de Pandora, Jake s’y rend sous la forme d’un Avatar, à savoir un hybride mi-humain mi-Na’vi, créé génétiquement et piloté à distance. Par ce biais, il se retrouve pourvu d’un nouveau corps en pleine santé et part explorer la jungle de Pandora, pleine de créatures fabuleuses et de dangers mortels. Sa mission : transmettre un rapport détaillé à l’armée afin qu’elle puisse y envoyer ses troupes en toute connaissance du terrain. Il rencontre alors Neytiri, une Na’vi dont la beauté n’a d’égal que la férocité au combat. Adopté par son clan, Jake la trahit mais tombe amoureux d’elle et se retrouve plongé au sein d’une guerre planétaire entre ses anciens frères d’armes et le peuple Na’vi, qui fait preuve d’un art de la guerre contre lequel l’armée terrienne doit déployer toutes ses légions…
On sent clairement poindre des gouttes d'Aliens et d'Abyss dans ce résumé, et l'on ne sera ainsi pas surpris d'apprendre que la grande Sigourney Weaver se trouve dans le casting, et que Michael "Kyle Reese" Biehn a bien failli être embarqué dans l'aventure. Également présents aux côtés de l'excellent Sam Worthington, Michelle Rodriguez, Zoe Saldana et Giovanni Ribisi complètent le générique. Autre habitué de retour : le compositeur James Horner, auteur des géniales bandes-sonores d'Aliens, Titanic, mais aussi du Nom de la Rose et de Willow.
Le film sera en salles au Canada à partir du 18 décembre, projeté au format 1.85 dans les salles équipées en 3-D et en scope 2.35 pour les autres.
Évidemment, il y a l'enjeu technologique, déjà sur toutes les lèvres, d'un film tourné en HD 3D avec des moyens colossaux (on parle d'un budget minimum de 200 millions $), mais le cinéma de James Cameron a toujours marqué sa différence par des scénarios plus fouillés qu'ils ne le paraissaient, des personnages inoubliables et un humanisme foudroyant. Avatar ne devrait pas faire exceotion à la règle à en juger par le synopsis (mad-movies.com) : Le héros s’appelle Jake Sully (Sam Worthington, la grande découverte de Terminator 4), un ex-Marine paralysé suite à une blessure reçue sur le champ de bataille. Cloué sur une chaise roulante, il est sélectionné par l’armée pour participer au programme Avatar : on l’envoie alors en éclaireur sur Pandora, une planète habitée par les Na’vi, race considérée comme primitive par les humains mais en réalité bien plus évoluée. Hauts de trois mètres, dotés d’un appendice caudal et d’une peau de couleur bleue, les Na’vi vivent en harmonie avec la faune et la flore d’un monde que rien n’est venu souiller, mais dont les ressources minérales suscitent bien des convoitises. L’oxygène étant absent de Pandora, Jake s’y rend sous la forme d’un Avatar, à savoir un hybride mi-humain mi-Na’vi, créé génétiquement et piloté à distance. Par ce biais, il se retrouve pourvu d’un nouveau corps en pleine santé et part explorer la jungle de Pandora, pleine de créatures fabuleuses et de dangers mortels. Sa mission : transmettre un rapport détaillé à l’armée afin qu’elle puisse y envoyer ses troupes en toute connaissance du terrain. Il rencontre alors Neytiri, une Na’vi dont la beauté n’a d’égal que la férocité au combat. Adopté par son clan, Jake la trahit mais tombe amoureux d’elle et se retrouve plongé au sein d’une guerre planétaire entre ses anciens frères d’armes et le peuple Na’vi, qui fait preuve d’un art de la guerre contre lequel l’armée terrienne doit déployer toutes ses légions…
On sent clairement poindre des gouttes d'Aliens et d'Abyss dans ce résumé, et l'on ne sera ainsi pas surpris d'apprendre que la grande Sigourney Weaver se trouve dans le casting, et que Michael "Kyle Reese" Biehn a bien failli être embarqué dans l'aventure. Également présents aux côtés de l'excellent Sam Worthington, Michelle Rodriguez, Zoe Saldana et Giovanni Ribisi complètent le générique. Autre habitué de retour : le compositeur James Horner, auteur des géniales bandes-sonores d'Aliens, Titanic, mais aussi du Nom de la Rose et de Willow.
Le film sera en salles au Canada à partir du 18 décembre, projeté au format 1.85 dans les salles équipées en 3-D et en scope 2.35 pour les autres.
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